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Affichage des articles du octobre, 2017

Au Musée Jacquemart-André : la collection Hansen

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Baigneuses, Paul Cézanne Le « Jardin secret des Hansen » est à découvrir au Musée Jacquemart-André à Paris jusqu’au 22 janvier 2018. Comme au Musée Jacquemart-André, la collection d’Ordrupgaard est constituée par un couple féru d’art, les danois Wilhelm (1868 – 1936) et Henny (1870 – 1951) Hansen. Homme d’affaires passionné d’art, esprit indépendant et visionnaire, Wilhelm Hansen assemble en seulement deux ans entre 1916 et 1918 une collection unique en Europe d’œuvres représentatives de l’impressionnisme et du post-impressionnisme de la seconde moitié du XIXe et du début du XXe siècle. Une sélection de plus de 40 tableaux est présentée pour la première fois à Paris, au Musée Jacquemart-André. Falaise de Sainte-Adresse, Claude Monet Le Pont de Waterloo, Claude Monet Marine, Le Havre, Claude Monet Hamlet et le fossoyeur, Camille Corot Le Moulin à vent, Camille Corot Le Pavé de Chailly dans la forêt de Fontainebleau, Claude Monet  De Co

Château de Rentilly : découvrir le réel dédoublé ou augmenté

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Dans le cadre de l’étonnant château de Rentilly se tient jusqu’au 4 février 2018 l’exposition «Hôtel du Pavot 2 » . Le château de Rentilly revu façon Star Wars À plus d’un titre, Hôtel du Pavot 2 explore la notion de double – et par extension, celles de répétition, de reflet et de reprise – à travers un ensemble d’œuvres issues en grande partie de la collection du frac Ile-de-France et complété par des prêts en provenance d’autres Frac. Véritable écho – sorte de « saison 2 » – de l’exposition précédente (Hôtel du Pavot …) présentée au château, la scénographie reprend le même dispositif, à savoir une succession d’espaces conçus comme autant de chambres formant hôtel. Cette fois, le visiteur est invité à le parcourir pour y découvrir des œuvres qui lui procureront une étrange sensation de déjà-vu. Et pour cause : de façon systématique, chacune des œuvres proposées dans l’exposition s’affirme avant tout par un jeu de dédoublement. Diptyques (John Hilliard,

Malick Sidibé à la Fondation Cartier

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Jusqu’au 25 février 2018 la Fondation Cartier présente pour la première fois les plus exceptionnelles et emblématiques photos de Malick Sidibé. Ainsi est honoré celui que d’aucun considèrent comme l’un des cent plus grands photographes de l’histoire. Disparu le 14 avril 2016, Malick Sidibé nous invite à une véritable plongée dans la vie de Bamako des années « Twist » comme l’e titre l’exposition. Par son style unique, reconnu dans le monde entier, il a su saisir la vitalité de la jeunesse bamakoise. J'effectue une prise de vue au NIKON numérique format 24x36 dans le studio reconstitué de Malick Sidibé Je recadre le cliché au format 6x6 du ROLLEIFLEX de Malick Sidibé Enfin je convertis le cliché ainsi obtenu en noir et blanc, 256 niveaux de gris : le cliché final est à l façon de Malick Sidibé... (Olivier THIBAUD) Hervé Chandès, directeur général de la Fondation Cartier Soro Solo, journaliste ("L'Afrique