NOCTURNE RIVE DROITE : un parcours éblouissant !


Christie's parmi les arrivants

Devenue incontournable pour les collectionneurs et les amateurs d'arts, l'édition 2018 de la Nocturne Rive Droite s'est tenue le mercredi 6 juin 2018 dernier.




Cette année plus de cinquante participants – 54 précisément - se sont réunis pour proposer un parcours éblouissant au promeneur qu'il soit néophyte, amateur, curieux, passionné ou collectionneur.









Cette soirée était l’occasion de rencontrer certains des plus grands spécialistes de l’art, pour partager leur passion et leur enthousiasme !













Une Rive Droite à Paris en pleine effervescence

Reprenons dans les lignes qui suivent quelques impressions de notre excellent confrère « Connaissance des Arts ».
Avec l’arrivée des beaux jours, la Nocturne Rive Droite est un événement festif où l’on voit déambuler dans les rues du VIIIe arrondissement les passionnés d’art et les collectionneurs, souvent une coupe de champagne à la main, allant de galeries en librairies, d’antiquaires en maisons de ventes…




Particulièrement dynamique et suivie, cette édition 2018 a réuni les grands acteurs défendant les spécialités les plus variées, de toutes époques :
archéologie, antiquités et objets d’art, tableaux et dessins anciens, tapis, tapisseries, tableaux impressionnistes, modernes, art contemporain, Art Déco, bijoux…














De la rue du Faubourg-Saint-Honoré à l’avenue Matignon, ce parcours éclectique se ramifiait rue La Boétie, rue du Cirque, rue Jean-Mermoz, rue de Penthièvre, rue de Miromesnil, rue de l’Arc-de-Triomphe…










Force est de constater que ce périmètre géographique connaît un renouveau et a su attirer d’importantes galeries, signe de la « modernisation » d’un quartier habituellement perçu comme conservateur, porteur d’une clientèle internationale fortunée attirée par le fameux Triangle d’or.










Après l’implantation de la galerie Gagosian en 2010, Kamel Mennour a ouvert en 2016 un nouvel espace avenue Matignon. Dernière en date, la galerie Lelong & Co, historiquement implantée rue de Téhéran, vient elle aussi d’annoncer l’ouverture d’une deuxième galerie parisienne avenue Matignon à l’emplacement de l’ancienne galerie Jérôme de Noirmont, tandis que la galerie Fleury, installée à deux pas sur cette avenue, mise aussi sur son agrandissement.







Pour cette cuvée 2018, la Nocturne Rive Droite a su attirer de nouveaux participants souvent prestigieux, comme Christie’s ou Lelong & Co.





Marylin s'invite chez Christie's

On noteait également le retour des galeries Malingue, Éric Coatalem, Laurent Strouk ou Jean-Louis Danant.


DJ et champagne







Au menu des festivités, l’exposition « New Lights » confrontait antiquités du XVIIIe et art contemporain dans les douze salons raffinés de la galerie François Léage, les « Ricerche de un antiquario » , réunissait dessins et peintures chez Maurizio Nobile, de ravissants bijoux-sculptures contemporains de Frédérique Mattei investissaient la galerie Coatalem…



















Jasmine est venue en voisine


Takehiko SUGAWARA : notre coup de coeur

Du 24 mai au 14 juin, la Galerie Taménaga consacre tout son espace pour accueillir la quatrième exposition personnelle en France d’un des plus grands peintres abstraits japonais du moment : Takehiko Sugawara. Une trentaine de toiles seront exposées lors de cet évènement. Takehiko Sugawara est né en 1962, à Tokyo. En 1989, il est admis à l’Université des Beaux-Arts de Tama. En 1994, il reçoit la Bourse des Jeunes Talents, décernée par la Gotoh Memorial Foundation. Il reçoit plusieurs prix prestigieux, parmi lesquels : Grand Prix du Ministère de la Culture, Grand Prix Nikkei… Dès 1991, en plus des expositions de groupe auxquelles il participe, d’importantes expositions muséales personnelles lui sont consacrées : Musée Central des Arts, Tokyo ; Musée Nerima, Tokyo ; Musée des Beaux-Arts Shirane, Yamanashi… Né après la seconde guerre mondiale, Sugawara est à l’origine du renouveau de l’esthétique de la peinture japonaise nihonga (la caractéristique du nihonga est d’utiliser des pigments naturels : pierre volcanique, quartz, terre, sable, lapis-lazulis…que l’on broie finement avec de la colle animale), qui, traditionnellement, était « l’expression du Japon », couvrant le champ artistique de la beauté de la nature, pour répondre à une demande plus réaliste de la société comme une offrande démocratique à la peinture. Cette technique originale sur du papier japonais washi induit plusieurs niveaux de lecture... 
















































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